Sylvia FREY


Architecte DPLG, Urbaniste, Sociologue, Gérante et associée de l’agence d’architecture et d’études urbaines HARAPPA depuis 2007.

Née le 01-06-1979 à Belfort (90)

Inscription à l’ordre des Architectes d’Ile de France / Ordre National n° 072303

Elle démarre sa collaboration avec Attila CHEYSSIAL en 2003, sur des études ethno-urbaines et projets architecturaux à l’Ile
de la Réunion.

Diplômée 2004 de l’école d’architecture de Paris La Villette, elle fonde avec Fiona MEADOWS, Patrick BOUCHAIN et Julien BELLER l’association AOA, qui développe l’échange de compétences entre architectes, artisans et habitants à travers le monde, en particulier au Cameroun, au Bénin et au Maroc.

En 2007, elle crée avec Attila CHEYSSIAL l’agence d’architecture et d’études Harappa, qui approfondit une démarche ethno-sociologique de l’habitat et du paysage, la conception et la construction collaborative et le développement auto-centré.

Les projets urbains phares de cette approche sont les études RHI réalisées à la Réunion, en particulier celle du Centre-Ville du Port (2003) et Sentier Canal à Saint-Leu, L’ANRU de Lepervanche-Vergès de la Ville du Port (2006), le PRU de Saint-Pierre et L’ANRU Ravine Blanche à Saint-Pierre (2007), l’inventaire des pratiques « du développement Durable» (2010), Le Programme Intercommunal de Résorption de l’Insalubrité (PCRI) (pour les communes de l’Ouest de la Réunion(2011), et actuellement la ZAC de Doujani à Mayotte.

C’est le projet de Vieux-Pont au Lamentin en Martinique, qui permettra de mettre en pratique l’approche collaborative de la conception et de la construction avec le relogement de 25 familles, en auto-construction encadrée (2016). Un projet équivalent est actuellement en opération pilote à Mayotte, pour le compte de l’EPFAM.

Elle collabore régulièrement avec Julien BELLER architecte, pour qui elle apporte la carte de la conception collaborative, comme pour la transformation de l’ancienne piscine de Ste Geneviève des Bois 91 (2015) ou la transformation de la place de la Bastille à Paris (2017). Elle a contribué au suivi de la procédure règlementaire et du chantier du centre de premier accueil pour migrants de la porte de La Chapelle à Paris (2016).

En 2018, elle crée l’association Kiskanu, qui a pour objet de mettre en œuvre le principe de «formation-action» en s’appuyant sur les capacités et les savoir- faire des habitants et usagers.

Elle intervient aujourd’hui sur de nombreux projets de restructuration urbaine, des opérations de RHI, et des projets de quartier en auto-construction encadrée essentiellement à Mayotte, mais également en métropole et à la Réunion. (ZAC de Doujani, Projet urbain de Longoni, Auto-construction encadrée appliquée à Doujani,…).

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